Trois garçonnets âgés de 8 et 9 ans ont été placés lundi dans un centre de détention de Géorgie, sur la côte sud-est des Etats-Unis. Ils sont soupçonnés d’avoir enlevé et violé une fillette de 11 ans dans les bois près d’un ensemble d’immeubles d’un quartier ouvrier des faubourgs nord d’Atlanta.
Selon le capitaine Wayne Dennard, de la police d’Acworth, les faits se seraient produits jeudi dernier. « La victime, une fillette de 11 ans, a déclaré qu’elle jouait avec trois autres enfants – des garçons – dehors quand elle a été contrainte de les suivre dans un secteur boisé où elle a été sexuellement agressée et où l’un des garçons l’a violée. »
Les trois garçonnets – l’un âgé de 8 ans et les deux autres âgés de 9 ans – ont été déférés devant un juge pour enfants, portant des chaînes, des menottes et des survêtements. Leurs noms n’ont pas été divulgués en raison de leur âge. Selon Pat Head, le procureur du comté de Cobb, « en raison de leur âge, les agresseurs ne peuvent pas être formellement accusés de crime mais peuvent parfaitement être jugés pour des actes de délinquance, ce qui pourrait se traduire par un placement pouvant aller jusqu’à cinq ans dans un centre pour délinquants juvéniles ». Le juge pour enfants Gregory Poole a de son côté ordonné aux avocats de s’abstenir de tout commentaire sur cette affaire.
Brandon LeBlanc, le père du garçonnet de 8 ans, lui, ne s’en est pas privé. Il a affirmé que son fils avait été injustement accusé et que l’acte sexuel « était librement consenti ». « La fillette a accusé ses camarades de jeu uniquement après que ses parents ont appris qu’elle avait eu une relation sexuelle », assure encore Brandon LeBlanc. « Il n’y a eu aucun acte de violence. Il s’agit ici clairement de l’histoire d’une petite fille qui ne voulait pas avoir d’ennuis avec ses parents », a-t-il souligné hier dans les médias locaux, avant d’ajouter : « Pour sauver sa peau, elle a parlé de viol. »
Une version que conteste la mère de la fillette, qui a réagi sur la chaîne WGCL-TV d’Atlanta en estimant que les trois garçons « doivent prendre une leçon parce que, s’ils l’ont fait avec elle, ils peuvent parfaitement le refaire à quelqu’un d’autre. Et qui sait ce qu’ils pourront faire à d’autres filles quand ils seront adolescents »…
Selon le capitaine Wayne Dennard, de la police d’Acworth, les faits se seraient produits jeudi dernier. « La victime, une fillette de 11 ans, a déclaré qu’elle jouait avec trois autres enfants – des garçons – dehors quand elle a été contrainte de les suivre dans un secteur boisé où elle a été sexuellement agressée et où l’un des garçons l’a violée. »
Les trois garçonnets – l’un âgé de 8 ans et les deux autres âgés de 9 ans – ont été déférés devant un juge pour enfants, portant des chaînes, des menottes et des survêtements. Leurs noms n’ont pas été divulgués en raison de leur âge. Selon Pat Head, le procureur du comté de Cobb, « en raison de leur âge, les agresseurs ne peuvent pas être formellement accusés de crime mais peuvent parfaitement être jugés pour des actes de délinquance, ce qui pourrait se traduire par un placement pouvant aller jusqu’à cinq ans dans un centre pour délinquants juvéniles ». Le juge pour enfants Gregory Poole a de son côté ordonné aux avocats de s’abstenir de tout commentaire sur cette affaire.
Brandon LeBlanc, le père du garçonnet de 8 ans, lui, ne s’en est pas privé. Il a affirmé que son fils avait été injustement accusé et que l’acte sexuel « était librement consenti ». « La fillette a accusé ses camarades de jeu uniquement après que ses parents ont appris qu’elle avait eu une relation sexuelle », assure encore Brandon LeBlanc. « Il n’y a eu aucun acte de violence. Il s’agit ici clairement de l’histoire d’une petite fille qui ne voulait pas avoir d’ennuis avec ses parents », a-t-il souligné hier dans les médias locaux, avant d’ajouter : « Pour sauver sa peau, elle a parlé de viol. »
Une version que conteste la mère de la fillette, qui a réagi sur la chaîne WGCL-TV d’Atlanta en estimant que les trois garçons « doivent prendre une leçon parce que, s’ils l’ont fait avec elle, ils peuvent parfaitement le refaire à quelqu’un d’autre. Et qui sait ce qu’ils pourront faire à d’autres filles quand ils seront adolescents »…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire