Obsession
Le Nouvel Obs y voit une nouvelle manière pour le président français de se venger de son ex-épouse. Après la même bague offerte à ses deux dernières femmes, le voyage en Jordanie (où Cécilia avait convolé avec Richard Atthias), le choix du témoin pour son remariage: une ex-intime de Cécilia, son désir de se rendre avec Carla Bruni en Guyane où avaient été médiatisées ses retrouvailles avec Cécilia... Et maintenant le SMS, le magazine y voit la preuve de l'obsession de Sarkozy pour Cécilia, qui a quitté le visage de l'amour pour celui de la haine.
Rien à foutre de tous ces cons
D'après la même source, Nicolas Sarkozy est par ailleurs apparu tendu lors de son mariage. Refusant de relire un communiqué annonçant la "bonne nouvelle" en déclarant "Pas besoin de communiqué. Tous ces cons, j'en ai rien à foutre." Les proches du président se plaindraient d'ailleurs de ses choix très personnels pour gérer sa vie privée. "Sur ces sujets, il est dans sa bulle, il n'écoute pas. Pire, il ne veut rien entendre".
Cécilia se remarie
Cécilia, elle, est retournée dans les bras du publiciste fortuné Richard Atthias, pour lequel elle avait déjà quitté Sarkozy. Leur mariage est prévu pour le mois prochain
mercredi 6 février 2008
Gouvernement Fillon: Bientôt le retour de la fessée et du bonnet d'âne dans les écoles !

Après Darcos, Fillon. Le premier ministre a manifesté ce matin sur RMC et BFM-TV son «soutien» à l'enseignant qui avait giflé un élève irrespectueux, se disant «choqué» que le professeur ait été gardé à vue.
«Il n'est pas acceptable qu'un élève traite un enseignant de connard, c'est une faute qui mériterait, semble-t-il, une sanction plus sérieuse que celle qui a été prise (3 jours de suspension, ndlr), et donc oui, je soutiens cet enseignant», a dit François Fillon.Interrogé sur la garde à vue infligée à l'enseignant, le chef du gouvernement a déclaré ne pas avoir «de jugement à porter sur la justice», ajoutant aussitôt: «Mais franchement, en tant que citoyen et en tant que parent d'élève, oui ça me choque».«Ce n'est jamais une bonne solution de gifler un élève, mais en même temps je soutiens les enseignants qui ont besoin d'un peu de discipline et d'un peu de respect pour faire fonctionner les classes», a encore dit le premier ministre.Un professeur de technologie du collège Gilles-de-Chin de Berlaimont (Nord) avait giflé en classe un élève de 6ème qui venait de le traiter de «connard». A l'origine de l'échange, le professeur se serait agacé du désordre sur une table. Il comparaîtra pour «violence aggravée sur mineur» le 27 mars devant le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe. Le père de l'élève, un gendarme, avait porté plainte après l'incident.
EXCLU: info sur le blog " Bonnet d'ânes" : http://bonnetdane.midiblogs.com/
Sarkozy : il tente de faire revenir Cécilia 8 jours avant le mariage !

Selon le Nouvelobs.com, le Président aurait adressé à son ex-femme un texto avec ce message huit jours avant de se marier avec Carla Bruni.
Le message est resté sans réponse. Peu avant de convoler avec la chanteuse Carla Bruni, Nicolas Sarkozy aurait tenté de faire revenir son ex-femme Cécila à ses côtés. C'est l'information que révèle ce mercredi le site Internet de l'hebdomadaire le Nouvel Observateur. "Si tu reviens, j'annule tout", aurait écrit le Président dans un message SMS à l'attention de la mère de son fils Louis. Avance à laquelle Cécilia ex-Sarkozy n'a, à l'évidence, pas répondu favorablement.
Et le site Internet de rappeler que Nicolas Sarkozy a offert à Carla Bruni la même bague que celle qu'il avait passée au doigt de Cécilia. De même que le Président s'est rendu en voyage à Petra, en Jordanie, "là où Cécilia était pour la première fois partie avec le publicitaire Richard Attias". Sans oublier le choix de Mathilde Agostinelli, directrice de la communication de Prada, longtemps amie intime de Cécilia, par Nicolas Sarkozy comme témoin de son récent mariage avec Carla Bruni. A l'évidence, insiste le nouvelobs.com, "qu’elle prenne le visage de l’amour ou de la haine, la véritable obsession de Nicolas Sarkozy a été et reste Cécilia Sarkozy, dont le mariage avec Richard Attias est attendu le mois prochain".Le média affirme même que "pendant son mariage, le chef de l’Etat est apparu à plusieurs témoins moins heureux qu’on n'aurait pu l’imaginer." Et qu'aujourd’hui, "l’entourage de Sarkozy voudrait lui déconseiller d’emmener Carla avec lui en Guyane, là où avaient été médiatisées ses retrouvailles provisoires avec Cécilia, mais personne n’ose le lui dire de front. " Le site rapporte les propos d'un proche du Président: "Sur ces sujets, il est dans sa bulle, il n’écoute pas. Pire, il ne veut rien entendre." Cécilia non plus, semble-t-il
mardi 5 février 2008
Un bébé lancé depuis un immeuble en feu attrapé au vol

Lors de l'incendie d'un immeuble en Allemagne dimanche, qui a fait 9 morts (dont cinq enfants), des parents désespérés ont lancé leur bébé par la fenêtre et un policier a pu le rattraper au vol.La photo tragique a fait le tour des journaux: penchés à une fenêtre du troisième étage d'où sort une fumée noire, un homme et une femme regardent leur bébé tomber, figé dans le vide par le photographe.Les bras du père sont encore écartés. C'est lui qui vient de propulser son enfant vers la seule issue possible. La cage d'escalier de bois de cet immeuble de Ludwigshafen (sud-ouest de l'Allemagne) occupé par des familles turques vient de s'effondrer sous les flammes.Ce que ne montre pas la photo prise dimanche après-midi, peu de temps après que le feu se fut déclaré vers 16h30, c'est que des policiers et des pompiers munis de toiles de sauvetage tendent les bras en direction du petit garçon. L'un d'eux le rattrapera et il survivra.D'autres des quelque 70 occupants de l'immeuble -les 24 habitants avaient de la visite à l'occasion du carnaval-, ont sauté de tous les étages pour sauver leur vie, aidés par plus de 500 personnes, des policiers et pompiers intervenus rapidement. Hier-lundi, 20 personnes, dont trois grièvement blessées, étaient encore à l'hôpital.La police criminelle allemande BKA enquêtait sur l'origine de l'incendie, et notamment sur le témoignage de deux petites filles qui affirment dans la presse turque avoir vu un homme parlant Allemand et portant du papier et un briquet dans l'entrée de l'immeuble le jour même. La Turquie a demandé mardi aux autorités allemandes de lancer une enquête pour déterminer s'il s'agit d'un acte criminel et a décidé d'y envoyer une mission.
jeudi 31 janvier 2008
Le fils du commissaire est un rapeur



Dans une salle du Botanique bourrée à craquer et surchauffée, le nouveau phénomène belge James Deano est venu présenter son premier album Le fils du commissaire à la maison. Devant un public déjà conquis et hétéroclite, le rappeur le plus drôle du Royaume a offert un show séduisant et pro, de bonne augure pour le succès qui se dessine devant lui. Nous avons rencontré James Deano pendant les répétitions et suivi son concert. James Deano fait figure de rappeur à part dans le milieu du rap belge. Volontairement "grand public" et même "classe moyenne" selon les propres mots de son label il réussit là où tous les autres ont pour l'instant échoué. Waterlotois, pourtant, fils de commissaire, pourtant, il traîne sa grande carcasse nonchalante à travers le milieu très fermé du rap bruxellois depuis 10 ans déjà. Branleur de serviceAprès des débuts en duo au sein de Profil Bas, il évolue vite en solo et commet en 2003 un maxi au buzz (et sujet) énorme:
Branleur de service.
Un texte comico-salace qui lui permet de se faire remarquer et d'atteindre déjà de nouvelles sphères. James Deano multiplie alors les collaborations sur des mixtapes et compilations confidentielles. La rumeur autour de son nom s'amplifie et il finit par signer sur le label français Because. Fils de commissaireDe gros moyens et une énorme attente plus tard, son premier album est enfin dans les bacs. Le fils du commissaire regroupe plusieurs de ses morceaux déjà sortis dans l'underground, réenregistrés, remasterisés et souvent réadaptés. On pense à Drogué dur à la drogue douce ou El Playboy qui avaient déjà tourné sur de nombreuses platines mais en qualité médiocre. Autre surprise: à part un bonus track avec Akro, pas de collaborations belges mais une seule invitée (surprise): Diam's.
"faut pas se laisser aller"
Propulsé en haut des charts avec Les Blancs ne savent pas danser et Le fils du commissaire, ce premier album alterne entre le tragi-comique à l'accent belge et le délire contrôlé version major française. Mais c'est la volonté de "se prendre en main" qui transparaît surtout au long des 17 morceaux de l'album. Un discours devenu rare depuis la mort du rap français des années 90 et l'avènement du rap hardcore. Le battle qui clôt le CD face à Akro est à ce titre un moment d'anthologie entre deux des meilleurs lyricistes, surprenants à chaque mesure.
One-man-flow
Un bol d'air frais bienvenu, qui pêche parfois par manque de cohérence et par des morceaux qui semblent s'adresser à un public adolescent. Mais on aurait tort de bouder son plaisir devant un nouveau phénomène belge, rejeton non reconnu de Benoît Poelvoorde et Franck Dubosc qui aurait été élevé par un Rocca remarié à Oxmo Puccino. Inventeur du concept "one-man flow", un concert rap avec interludes comiques, il ne cache d'ailleurs pas son rêve d'écrire un jour un one-man show. "Il m'a fallu 10 ans pour maîtriser le rap, donc il me faudra encore 10 ans pour espérer écrire un one-man show un jour", nous explique-t-il toutefois.
Show-man
Bonne surprise, des musiciens et un son puissant mais bien dosé. Une articulation à toute épreuve, chose assez rare malheureusement dans le rap, pour un show simple mais carré qui lui a valu deux rappels autoritaires. Un public déjà fan, de tous âges, races, genres et poids. Et si vous l'associez à Kamini et Fatal Bazooka, il ne vous reste plus qu'à vous rendre compte par vous-même que c'est plus que ça.
Jeu du torero: le train de la mort

La nouvelle pratique mortelle qui amuse les jeunes : attendre, couché, qu'un train arrive et filmer leurs exploits si dangereux
BRUXELLES S'allonger sur une voie ferrée et attendre l'arrivée d'un train en se dégageant au dernier instant. Aussi dangereuse que puisse être cette pratique, elle est devenue un phénomène de mode qui prend de plus en plus d'ampleur parmi les jeunes. Chez nos voisins français, le jeu stupide, dénommé jeu du torero, fait fureur.
Pas plus tard que le 20 janvier, cinq adolescents ont testé leur adrénaline en se transformant en toreros. Ils ont pris pour cible la ligne TGV Paris-Marseille dans un petit village non loin d'Aix-en-Provence, se positionnant, allongés, sur les voies. Leur petit jeu avait heureusement été remarqué avant le passage de la rame. En mai dernier, pareille situation, avec cette fois trois enfants de 10 ans jouant les héros, s'était produite sur la ligne Paris-Meaux. Voulant éviter la multiplication de cette pratique, la SNCF a décidé d'organiser des conférences de prévention dans les écoles françaises.
Et chez nous, qu'en est-il ? Tant à la SNCB qu'à la police des chemins de fer, on reconnaît l'existence de ce jeu, tout en soulignant que les cas recensés restent très rares en Belgique. "C'est effectivement un phénomène qui existe mais qui reste marginal. Nous ne donnerons pas, et ce, volontairement, de détails sur cette pratique, tout simplement pour éviter d'en faire la promotion. Nous ne voulons parler ni de ce jeu ni des autres aussi dangereux qui peuvent exister afin de ne pas donner des idées aux jeunes, qui dès qu'ils découvrent ce genre de pratique, sont tentés de la tester. C'est ce que nous voulons éviter", précise le porte-parole de la SNCB, Philippe Tomberg.
Chez Infrabel, le gestionnaire de l'infrastructure ferroviaire belge, on souligne surtout le danger que représente l'inconscience des jeunes face aux passages à niveau. "Une centaine de personnes sont tuées chaque année par un train. En 2007, sans compter le mois de décembre, sept personnes ont été tuées en tentant de franchir un passage à niveau. C'est pourquoi nous avons effectué plusieurs campagnes de sensibilisation dans les écoles, les jeunes étant les plus inconscients face à ces dangers", poursuit la porte-parole d'Infrabel, Aurélie Traube.
Et si la SNCB ne communique aucune statistique en matière des jeux dangereux auxquels s'adonnent les jeunes sur les rails, un simple clic sur Internet suffit à constater que plusieurs adolescents en ont fait un sport qui a l'air de beaucoup les amuser. De plus en plus de vidéos montrent des jeunes s'amusant à quitter la voie ferrée au dernier moment avant le passage d'un train. Elles sont mises en ligne sous l'appellation du jeu du torero. Tout aussi inquiétantes sont les images filmées de jeunes s'accrochant au moyen de ventouses à l'arrière des TGV et parcourant ainsi des kilomètres de long suspendus de la sorte aux vitres des trains à grande vitesse. Un jeu, aussi stupide soit-il, qui remporte un succès chez nos voisins allemands.
Pas plus tard que le 20 janvier, cinq adolescents ont testé leur adrénaline en se transformant en toreros. Ils ont pris pour cible la ligne TGV Paris-Marseille dans un petit village non loin d'Aix-en-Provence, se positionnant, allongés, sur les voies. Leur petit jeu avait heureusement été remarqué avant le passage de la rame. En mai dernier, pareille situation, avec cette fois trois enfants de 10 ans jouant les héros, s'était produite sur la ligne Paris-Meaux. Voulant éviter la multiplication de cette pratique, la SNCF a décidé d'organiser des conférences de prévention dans les écoles françaises.
Et chez nous, qu'en est-il ? Tant à la SNCB qu'à la police des chemins de fer, on reconnaît l'existence de ce jeu, tout en soulignant que les cas recensés restent très rares en Belgique. "C'est effectivement un phénomène qui existe mais qui reste marginal. Nous ne donnerons pas, et ce, volontairement, de détails sur cette pratique, tout simplement pour éviter d'en faire la promotion. Nous ne voulons parler ni de ce jeu ni des autres aussi dangereux qui peuvent exister afin de ne pas donner des idées aux jeunes, qui dès qu'ils découvrent ce genre de pratique, sont tentés de la tester. C'est ce que nous voulons éviter", précise le porte-parole de la SNCB, Philippe Tomberg.
Chez Infrabel, le gestionnaire de l'infrastructure ferroviaire belge, on souligne surtout le danger que représente l'inconscience des jeunes face aux passages à niveau. "Une centaine de personnes sont tuées chaque année par un train. En 2007, sans compter le mois de décembre, sept personnes ont été tuées en tentant de franchir un passage à niveau. C'est pourquoi nous avons effectué plusieurs campagnes de sensibilisation dans les écoles, les jeunes étant les plus inconscients face à ces dangers", poursuit la porte-parole d'Infrabel, Aurélie Traube.
Et si la SNCB ne communique aucune statistique en matière des jeux dangereux auxquels s'adonnent les jeunes sur les rails, un simple clic sur Internet suffit à constater que plusieurs adolescents en ont fait un sport qui a l'air de beaucoup les amuser. De plus en plus de vidéos montrent des jeunes s'amusant à quitter la voie ferrée au dernier moment avant le passage d'un train. Elles sont mises en ligne sous l'appellation du jeu du torero. Tout aussi inquiétantes sont les images filmées de jeunes s'accrochant au moyen de ventouses à l'arrière des TGV et parcourant ainsi des kilomètres de long suspendus de la sorte aux vitres des trains à grande vitesse. Un jeu, aussi stupide soit-il, qui remporte un succès chez nos voisins allemands.
jeudi 24 janvier 2008
Ils pètent en direct sur le plateau de Delarue

L'émission Ca se discute de Jean-Luc Delarue diffusée en direct hier/mercredi sur l'antenne de la chaîne France 2 a été perturbée par un incident pour le moins inédit. Le présentateur a dû arrêter le débat suite à l'énervement visible de spectatrices dans le public, qui ont alors exprimé au micro leur ras-le-bol face au comportement de deux jeunes hommes impolis assis juste derrière elles. Les deux malotrus se laissaient apparemment aller à lâcher régulièrement des gaz depuis le début de l'émission, au sujet pourtant grave puisque traitant des disparitions.Prenant la chose avec humour et légèreté, Delarue, en bon médiateur, est resté très calme et a tourné l'incident à la rigolade. La situation s'est toutefois envenimée dans un second temps, avec échange de mots. Un agent de sécurité est alors intervenu sur le plateau pour évacuer les deux jeunes perturbateurs.
Pacte de suicides sur Internet

Une série de pendaisons fait craindre une pratique macabre en Grande-Bretagne
LONDRES La police britannique a annoncé mercredi enquêter sur une série de pendaisons d'adolescents ou de jeunes adultes, survenues dans une même région du pays de Galles, qui font craindre un culte suicidaire via Bebo, un site de socialisation sur l'Internet.
Natasha Randall, 17 ans, est la dernière victime à avoir été découverte pendue, jeudi dernier à Blaengarw, un village de deux milliers d'habitants situé dans les environs de la ville de Bridgend, dans le sud du pays de Galles. Cette mort est le septième suicide à être survenu en un an dans la région.
La série a commencé avec la découverte du corps de Dale Crole, 18 ans, dans un bâtiment désaffecté, en janvier 2007. Le mois suivant, un jeune de 19 ans était retrouvé pendu chez lui, puis on découvrait un peu plus tard, également pendu, un autre homme de 20 ans, ami des deux premières victimes.
En août dernier, c'était au tour d'un jeune homme de 17 ans. Puis Liam Clarke, 20 ans et ami de Dale Crole, était retrouvé pendu en décembre.
Un sixième jeune homme de 27 ans se suicidait début janvier.
Les victimes se connaissaient, étant parfois de proches amis, et la police a précisé s'intéresser particulièrement à un ordinateur utilisé par la dernière adolescente pendue, Natasha, qui avait laissé une note sur la page qu'elle entretenait sur le site de socialisation Bebo. "Repose en paix, Clarky", a-t-elle écrit en référence à Liam Clarke.
Dans une interview au Daily Mail de mercredi, le père de Liam, Kevin Clarke, qualifie les suicides de "très étranges". "On ne sait tout simplement pas de quoi il s'agit. C'est très étrange qu'il y ait eu tant de suicides à Bridgend et qu'ils semblent tous s'être connus. On ne sait pas s'il s'agit d'une sorte de culte bizarre ou de suicides collectifs ou s'ils avaient une sorte de pacte suicidaire bizarre", a-t-il déclaré.
Natasha Randall, 17 ans, est la dernière victime à avoir été découverte pendue, jeudi dernier à Blaengarw, un village de deux milliers d'habitants situé dans les environs de la ville de Bridgend, dans le sud du pays de Galles. Cette mort est le septième suicide à être survenu en un an dans la région.
La série a commencé avec la découverte du corps de Dale Crole, 18 ans, dans un bâtiment désaffecté, en janvier 2007. Le mois suivant, un jeune de 19 ans était retrouvé pendu chez lui, puis on découvrait un peu plus tard, également pendu, un autre homme de 20 ans, ami des deux premières victimes.
En août dernier, c'était au tour d'un jeune homme de 17 ans. Puis Liam Clarke, 20 ans et ami de Dale Crole, était retrouvé pendu en décembre.
Un sixième jeune homme de 27 ans se suicidait début janvier.
Les victimes se connaissaient, étant parfois de proches amis, et la police a précisé s'intéresser particulièrement à un ordinateur utilisé par la dernière adolescente pendue, Natasha, qui avait laissé une note sur la page qu'elle entretenait sur le site de socialisation Bebo. "Repose en paix, Clarky", a-t-elle écrit en référence à Liam Clarke.
Dans une interview au Daily Mail de mercredi, le père de Liam, Kevin Clarke, qualifie les suicides de "très étranges". "On ne sait tout simplement pas de quoi il s'agit. C'est très étrange qu'il y ait eu tant de suicides à Bridgend et qu'ils semblent tous s'être connus. On ne sait pas s'il s'agit d'une sorte de culte bizarre ou de suicides collectifs ou s'ils avaient une sorte de pacte suicidaire bizarre", a-t-il déclaré.
Il écrit une scène de meurtre et passe à l'acte

Un adolescent japonais accusé d'avoir tué son frère et sa soeur et ouvert le ventre de sa mère pour y placer une poupée, venait d'écrire sur son ordinateur une nouvelle décrivant une scène similaire, ont rapporté les médias.
Hannibal Lecter
Le père du jeune homme, qui a réclamé la peine de mort pour son fils, a par ailleurs raconté que le jeune homme de 18 ans était fan d'Hannibal Lecter, le célèbre personnage de fiction dépeignant un psychiatre devenu cannibale. L'adolescent a reconnu avoir poignardé à mort son frère de 15 ans, sa soeur de 13 ans, et sa mère, début janvier, au domicile familial de Hachinohe (nord), selon la police. La presse japonaise rapporte qu'il a ensuite ouvert le ventre de sa mère pour y glisser une poupée, avant de mettre le feu à l'appartement. Selon les médias, les enquêteurs ont retrouvé une nouvelle dans le disque dur de son ordinateur où le garçon décrivait des scènes de meurtre. Dans l'une d'entre elles, un personnage glissait un objet dans le ventre de sa mère après l'avoir tuée. Interrogé par un hebdomadaire local jeudi, le père du garçon, un ancien repris de justice divorcé d'avec sa mère depuis une dizaine d'années, raconte que son fils lui avait envoyé des livres lorsqu'il était en prison, "tous de la série Hannibal", a-t-il expliqué.
Nouvelle
Lorsque le père a été libéré en novembre, son fils lui a confié écrire une nouvelle sur sept personnages commettant des crimes chacun de leur côté, avant de s'unir pour détruire une ville entière. "J'espère un jugement rapide. Je veux qu'il soit condamné à mort, franchement c'est ce que je ressens", a-t-il affirmé. Les psychologues sont partagés sur les effets de la violence dans la littérature, le cinéma ou les jeux vidéos. Certains avancent qu'elle encourage le passage à l'acte des personnes fragiles, d'autres rétorquent qu'elle sert de défouloir aux pulsions morbides.
mardi 22 janvier 2008
A Pau, Bayrou repousse les avances de Sarkozy
Le Président l'engageait à poursuivre avec lui la visite officielle à Pau, Bayrou a décliné. «On n'est pas amis», a-t-il sous-entendu.
Echange court mais tendu entre Nicolas Sarkozy et François Bayrou mardi à l'aéroport de Pau, où le président du Mouvement démocrate (MoDem) faisait partie des invités à l'accueil protocolaire organisé pour le président.
Les deux ex-candidats à l'élection présidentielle se saluent, et le chef de l'Etat, confiant, lance à François Bayrou: «Naturellement, tu viens avec nous» pour le reste de la visite.L'invitation est déclinée par le député des Pyrénées-Atlantiques, au motif que «les parlementaires n'ont pas été invités». «Je suis venu à l'aéroport car je suis très attaché au respect des principes républicains.»Réplique du Président: «Les principes républicains c'est bien, mais il y a aussi l'amitié.» A quoi le «troisième homme» de la présidentielle répond: «J'ai pu vérifier que l'amitié prenait des formes diverses.» Bref mais cinglant.
Echange court mais tendu entre Nicolas Sarkozy et François Bayrou mardi à l'aéroport de Pau, où le président du Mouvement démocrate (MoDem) faisait partie des invités à l'accueil protocolaire organisé pour le président.
Les deux ex-candidats à l'élection présidentielle se saluent, et le chef de l'Etat, confiant, lance à François Bayrou: «Naturellement, tu viens avec nous» pour le reste de la visite.L'invitation est déclinée par le député des Pyrénées-Atlantiques, au motif que «les parlementaires n'ont pas été invités». «Je suis venu à l'aéroport car je suis très attaché au respect des principes républicains.»Réplique du Président: «Les principes républicains c'est bien, mais il y a aussi l'amitié.» A quoi le «troisième homme» de la présidentielle répond: «J'ai pu vérifier que l'amitié prenait des formes diverses.» Bref mais cinglant.
Il découpe les radars au chalumeau
Un artisan de 46 ans a été interpellé au cours de la nuit de samedi à dimanche par les gendarmes de Nantua dans l'Ain alors qu'il découpait au chalumeau un radar automatique le long de la RN75 à Tossiat, a-t-on appris lundi de source judiciaire à Bourg-en-Bresse.
Intrigués au cours d'une patrouille nocturne par une voiture stationnée, moteur en marche et tous feux allumés, le long de la RN75, les gendarmes se sont arrêtés. A peine ont-ils mis pied à terre qu'ils remarquaient des étincelles en provenance du radar automatique installé non loin de là. Sans bruit, ils se sont approchés et ont découvert l'artisan en train de découper soigneusement au chalumeau le pied de l'appareil.
Peu bavard lors de sa garde à vue, l'homme dont l'identité n'a pas été précisée a cependant expliqué qu'il s'était fait ''flasher'' à plusieurs reprises, et était excédé par des P.V. et les retraits de points sur son permis de conduire. Il a également avoué avoir découpé un autre appareil la même nuit.Placé en garde à vue, l'artisan devait être présenté lundi après-midi au parquet de Bourg-en-Bresse. Il encourt jusqu'à trois ans de prison et 45.000 euros d'amende.
Intrigués au cours d'une patrouille nocturne par une voiture stationnée, moteur en marche et tous feux allumés, le long de la RN75, les gendarmes se sont arrêtés. A peine ont-ils mis pied à terre qu'ils remarquaient des étincelles en provenance du radar automatique installé non loin de là. Sans bruit, ils se sont approchés et ont découvert l'artisan en train de découper soigneusement au chalumeau le pied de l'appareil.
Peu bavard lors de sa garde à vue, l'homme dont l'identité n'a pas été précisée a cependant expliqué qu'il s'était fait ''flasher'' à plusieurs reprises, et était excédé par des P.V. et les retraits de points sur son permis de conduire. Il a également avoué avoir découpé un autre appareil la même nuit.Placé en garde à vue, l'artisan devait être présenté lundi après-midi au parquet de Bourg-en-Bresse. Il encourt jusqu'à trois ans de prison et 45.000 euros d'amende.
Séisme en Belgique : Le prêtre qui a marié le futur roi des Belges condamné pour pédophilie

Le prévenu s'était fait connaître en dirigeant les choeurs lors de la célébration du mariage de Philippe et Mathilde
BRUXELLES Le tribunal correctionnel de Bruxelles a condamné mardi l'abbé Robert Borremans, 54 ans, à 5 ans de prison, dont trois avec sursis, pour des viols et des attentats à la pudeur commis sur un jeune garçon, pendant 7 ans, entre 1994 et 2001. La victime était âgée de 11 ans au moment des premiers abus.Le prévenu s'était fait connaître du grand public en dirigeant les choeurs lors de la célébration du mariage du prince Philippe avec la princesse Mathilde, le 4 décembre 1999. A cette occasion, plusieurs personnes s'étaient émues de sa présence lors d'un événement aussi important, alors qu'il faisait déjà l'objet de poursuites judiciaires dans des dossiers de moeurs.Un premier dossier relatif à deux attentats à la pudeur sur des mineurs a abouti à un acquittement devant la cour d'appel de Bruxelles, voici quatre ans, les juges ne retenant qu'un outrage public aux moeurs. L'abbé Borremans a par ailleurs bénéficié d'une simple déclaration de culpabilité dans un dossier financier.Dans leur jugement prononcé mardi, les magistrats ont indiqué que "la peine tient compte de la gravité des faits et du trouble qu'ils ont suscité chez la victime, ainsi que chez ses proches, tous trahis dans la confiance qu'ils accordaient à leur ami et confident de longue date et dont il n'était pas permis de douter un seul instant de l'honorabilité et de la probité".Le tribunal de poursuivre: "Le prévenu, diplômé comme ingénieur, philosophe et théologien, nanti de responsabilités au sein de l'église catholique, conscient depuis l'âge de 30 ans de son attirance sexuelle envers les mineurs d'âge, mis en garde par l'équipe de SOS Enfants dès 1993, n'a aucunement tenu compte de ces signaux d'alarme et a préféré, égoïstement, assouvir ses pulsions".Les magistrats ont stigmatisé l'absence de remise en question chez l'abbé Borremans, de regret et de compassion "pour la partie civile livrée à ses angoisses existentielles".Le sursis probatoire octroyé au prévenu est conditionné par des consultations obligatoires auprès du CAB, le Centre d'appui bruxellois, chargé de l'évaluation et de l'orientation des abuseurs sexuels, et le suivi du traitement préconisé auprès du psychothérapeute, et ce, aussi longtemps que celui-ci l'estimera nécessaire. L'abbé Borremans devra aussi "éviter tout contact avec des mineurs d'âge, tant dans sa vie privée que dans sa vie professionnelle". Le prêtre devra encore verser 11.700 euros à la victime et à ses parents
lundi 21 janvier 2008
Un ressortissant Français arrêté et écroué à Bruxelles
BRUXELLES. Une ressortissant Français a été arrêté et interrogé dans le cadre d’une enquête sur une mort suspecte à Liège. Après avoir été déféré au parquet, celui-ci s’est vu signifié par le juge d’instruction sa mise en examen pour homicide et tentative de captation d’héritage. L’homme est écroué à la prison de Forest.
Tout débute le 31 décembre dernier dans la cité Ardente. Un Liègeois de 44 ans, Benoît M. est retrouvé à 23H inanimé par des voisins à son domicile du quartier Sainte Marguerite. Selon les voisins, l’homme respirait encore lorsqu’il a été découvert. Les secours sont arrivés rapidement mais celui-ci est décédé lors de son transport à l’hôpital. Le parquet de Liège a immédiatement ouvert une enquête et une autopsie a été demandée afin de connaître les causes de la mort. Selon le juge d’instruction Liègeois, la mort suspecte seraient du à une absorption concomitante d’alcool et de médicaments (dont des barbituriques). Des éléments troublants sont apparus dans un premier temps aux enquêteurs. L’homme présentait des traces de griffure mais aussi de strangulations, laissant penser qu’il s’était peut être débattu. C’est alors que débute une enquête qui allait connaître un rebondissement spectaculaire.
Une somme importante a été retirée dans un distributeur de billets le 1er Janvier 2OO8 à Bruxelles; Plusieurs achats ont été effectués le 30 décembre avec la carte de crédit de la victime dont un téléphone portable dans un magasin de la rue Neuve à Bruxelles. L’appareil téléphonique est localisé grâce à son numéro IMEI (fiche d’identité du téléphone) et tous les appels sortants de ce téléphone sont analysés. Plusieurs appels sont effectués dans la région de Charleroi, d’autres à Bruxelles. Un numéro retient particulièrement l’attention des enquêteurs : le Docteur François D., un vétérinaire Bruxellois. L’appel est émis le 31 décembre à 16h chez ce vétérinaire qui consultait ce même jour.
Le 1er janvier, une perquisition est effectuée au cabinet du vétérinaire. Celui-ci est prié par les enquêteurs de présenter son registre d’inscription des stupéfiants (inscription obligatoire dans cette profession). Il semble y avoir discordance entre le stock du médecin et le registre. Deux boites de barbituriques sont manquantes. Le vétérinaire est placé immédiatement en garde à vue et les lieux sont inspectés. L’agenda du vétérinaire est scrupuleusement étudié, et sur l’ordinateur de celui-ci , une seule visite est signalée après 16h ce 31 décembre : un certain Philippe L. de Bruxelles , qui se présenté a 17h chez le vétérinaire. Une perquisition est dans la foulée réalisée chez ce client, un ressortissant Français de 46 ans. Une des deux boites de barbituriques est retrouvée à son domicile. Philippe L. ainsi que son amant Mustafa S., 33 ans sont également placés en garde à vue. Les policiers disposent dès lors de 48 heures pour faire éclater la vérité.
Philippe L. avoue avoir subtilisé les barbituriques au vétérinaire lors de sa visite mais nie toute implication dans l’assassinat de Liège. Cependant un élément est accablant pour lui. Des appels sortants sont émis à partir du quartier Sainte Marguerite à Liège entre 19h et 23h le 31 décembre. Le téléphone ne sera jamais retrouvé. Face à ces éléments, l’accusé avoue les faits. Mustafa S. ainsi que le vétérinaire sont mis hors de cause et libérés après interrogatoire.
Reste aux enquêteurs trouver le mobile de cet assassinat : crime passionnel ou crime prémédité ?
La victime Benoît M., riche entrepreneur Liégeois s’adonnant aux pratiques homosexuelles avait depuis de nombreuses années des problèmes de santé liés à l’alcool. Celui-ci n’avait plus aucun contact avec sa famille et ne semblait pas avoir d’amis sur Liège. Après enquête de voisinage, il s’avère que Philippe L. était totalement inconnu dans le quartier. Seul un voisin signale une camionnette bleue régulièrement garée dans le jardin pendant les week-ends.
Mais rapidement les enquêteurs vont comprendre dans quel plan machiavélique la victime était impliquée malgré elle. Après épluchage des comptes bancaires de Benoît M., il s’avère que dans les 5 dernières années, pas moins de 20 assurances vies avaient été souscrites au nom de Philippe L. De même que trois immeubles à Liège avaient été achetés par Benoît M. en nue propriété au nom des deux hommes, la victime étant usufruitière. Logiquement, au décès de l’un des deux, tout devait revenir au second, tout en évitant par ce montage des droits de successions importants. Les parents ainsi que la famille de Benoît M. se disent consternés par cette découverte et comptent poursuive l’auteur des faits pour tentative de captation d’héritage. Philippe L. devrait être jugé devant la cour d’assise de Liège début 2009. Il encourt la réclusion à perpétuité.
Tout débute le 31 décembre dernier dans la cité Ardente. Un Liègeois de 44 ans, Benoît M. est retrouvé à 23H inanimé par des voisins à son domicile du quartier Sainte Marguerite. Selon les voisins, l’homme respirait encore lorsqu’il a été découvert. Les secours sont arrivés rapidement mais celui-ci est décédé lors de son transport à l’hôpital. Le parquet de Liège a immédiatement ouvert une enquête et une autopsie a été demandée afin de connaître les causes de la mort. Selon le juge d’instruction Liègeois, la mort suspecte seraient du à une absorption concomitante d’alcool et de médicaments (dont des barbituriques). Des éléments troublants sont apparus dans un premier temps aux enquêteurs. L’homme présentait des traces de griffure mais aussi de strangulations, laissant penser qu’il s’était peut être débattu. C’est alors que débute une enquête qui allait connaître un rebondissement spectaculaire.
Une somme importante a été retirée dans un distributeur de billets le 1er Janvier 2OO8 à Bruxelles; Plusieurs achats ont été effectués le 30 décembre avec la carte de crédit de la victime dont un téléphone portable dans un magasin de la rue Neuve à Bruxelles. L’appareil téléphonique est localisé grâce à son numéro IMEI (fiche d’identité du téléphone) et tous les appels sortants de ce téléphone sont analysés. Plusieurs appels sont effectués dans la région de Charleroi, d’autres à Bruxelles. Un numéro retient particulièrement l’attention des enquêteurs : le Docteur François D., un vétérinaire Bruxellois. L’appel est émis le 31 décembre à 16h chez ce vétérinaire qui consultait ce même jour.
Le 1er janvier, une perquisition est effectuée au cabinet du vétérinaire. Celui-ci est prié par les enquêteurs de présenter son registre d’inscription des stupéfiants (inscription obligatoire dans cette profession). Il semble y avoir discordance entre le stock du médecin et le registre. Deux boites de barbituriques sont manquantes. Le vétérinaire est placé immédiatement en garde à vue et les lieux sont inspectés. L’agenda du vétérinaire est scrupuleusement étudié, et sur l’ordinateur de celui-ci , une seule visite est signalée après 16h ce 31 décembre : un certain Philippe L. de Bruxelles , qui se présenté a 17h chez le vétérinaire. Une perquisition est dans la foulée réalisée chez ce client, un ressortissant Français de 46 ans. Une des deux boites de barbituriques est retrouvée à son domicile. Philippe L. ainsi que son amant Mustafa S., 33 ans sont également placés en garde à vue. Les policiers disposent dès lors de 48 heures pour faire éclater la vérité.
Philippe L. avoue avoir subtilisé les barbituriques au vétérinaire lors de sa visite mais nie toute implication dans l’assassinat de Liège. Cependant un élément est accablant pour lui. Des appels sortants sont émis à partir du quartier Sainte Marguerite à Liège entre 19h et 23h le 31 décembre. Le téléphone ne sera jamais retrouvé. Face à ces éléments, l’accusé avoue les faits. Mustafa S. ainsi que le vétérinaire sont mis hors de cause et libérés après interrogatoire.
Reste aux enquêteurs trouver le mobile de cet assassinat : crime passionnel ou crime prémédité ?
La victime Benoît M., riche entrepreneur Liégeois s’adonnant aux pratiques homosexuelles avait depuis de nombreuses années des problèmes de santé liés à l’alcool. Celui-ci n’avait plus aucun contact avec sa famille et ne semblait pas avoir d’amis sur Liège. Après enquête de voisinage, il s’avère que Philippe L. était totalement inconnu dans le quartier. Seul un voisin signale une camionnette bleue régulièrement garée dans le jardin pendant les week-ends.
Mais rapidement les enquêteurs vont comprendre dans quel plan machiavélique la victime était impliquée malgré elle. Après épluchage des comptes bancaires de Benoît M., il s’avère que dans les 5 dernières années, pas moins de 20 assurances vies avaient été souscrites au nom de Philippe L. De même que trois immeubles à Liège avaient été achetés par Benoît M. en nue propriété au nom des deux hommes, la victime étant usufruitière. Logiquement, au décès de l’un des deux, tout devait revenir au second, tout en évitant par ce montage des droits de successions importants. Les parents ainsi que la famille de Benoît M. se disent consternés par cette découverte et comptent poursuive l’auteur des faits pour tentative de captation d’héritage. Philippe L. devrait être jugé devant la cour d’assise de Liège début 2009. Il encourt la réclusion à perpétuité.
vendredi 18 janvier 2008
Un ancien coiffeur envoie une phalange à Rachida Dati
Un Malouin de 57 ans, en proie à des difficultés juridiques, s’est coupé un doigt et l’a envoyé à la ministre de la Justice. En 2002, ses deux salons de coiffure, situés à Saint-Malo et à Créhen (Côtes-d’Armor), avaient été mis en liquidation judiciaire.
“Ils m’y ont poussé”
Il y a huit ans, la vie de Lionel Brothier n’était pas la même. Marié, il dirigeait deux salons de coiffure, partait souvent en vacances, avait une belle voiture et surtout il gagnait bien sa vie. Mais les temps ont changé : l’ancien coiffeur a aujourd’hui 57 ans, il est divorcé, vit avec le RMI dans un appartement HLM. La transition a été douloureuse et Lionel Brothier garde un sentiment amer envers la justice qui lui a « tout volé ».
Prendre le large
« Cela fait presque dix ans que je mène un véritable combat juridique », raconte-t-il. En 2000, il a décidé de vendre ses deux salons, pour prendre le large avec sa petite famille. « Tout est parti sur une histoire de notaires, poursuit-il.
C’est à cause d’un notaire que j’ai tout perdu. Je l’ai assigné en justice et j’ai été débouté en 2002. » Et d’ajouter : « J’ai perdu ce procès parce que j’ai fait une grève de la faim. On m’avait dit que je ne gagnerais pas si je faisais parler de moi », explique-t-il. Depuis, il a tenté de faire appel auprès de la cour d’appel de Rennes, a assigné en justice les magistrats « fautifs » de son malheur et écrit des lettres à la Chancellerie… En vain.
Petit doigt
Le 4 janvier dernier, il a décidé de passer à l’acte pour se faire entendre. Il s’est sectionné la première phalange du petit doigt de la main gauche et l’a envoyée à Rachida Dati. « Ils m’ont poussé à le faire », se justifie-t-il. De son côté, le porte-parole de la ministre, Guillaume Didier, nous a déclaré hier que « Rachida Dati avait demandé des informations sur la situation personnelle de Lionel Brothier » et nous a certifié que le ministère avait répondu à toutes les lettres de l’ancien coiffeur.
Ce n’est pas la première fois que ce genre d’affaires se produit en France. Dans les années 1980, Roland Agret s’était coupé deux phalanges et les avait envoyées au garde des Sceaux, pour obtenir son procès en révision. Après six ans de prison, il avait été libéré par grâce présidentielle.
“Ils m’y ont poussé”
Il y a huit ans, la vie de Lionel Brothier n’était pas la même. Marié, il dirigeait deux salons de coiffure, partait souvent en vacances, avait une belle voiture et surtout il gagnait bien sa vie. Mais les temps ont changé : l’ancien coiffeur a aujourd’hui 57 ans, il est divorcé, vit avec le RMI dans un appartement HLM. La transition a été douloureuse et Lionel Brothier garde un sentiment amer envers la justice qui lui a « tout volé ».
Prendre le large
« Cela fait presque dix ans que je mène un véritable combat juridique », raconte-t-il. En 2000, il a décidé de vendre ses deux salons, pour prendre le large avec sa petite famille. « Tout est parti sur une histoire de notaires, poursuit-il.
C’est à cause d’un notaire que j’ai tout perdu. Je l’ai assigné en justice et j’ai été débouté en 2002. » Et d’ajouter : « J’ai perdu ce procès parce que j’ai fait une grève de la faim. On m’avait dit que je ne gagnerais pas si je faisais parler de moi », explique-t-il. Depuis, il a tenté de faire appel auprès de la cour d’appel de Rennes, a assigné en justice les magistrats « fautifs » de son malheur et écrit des lettres à la Chancellerie… En vain.
Petit doigt
Le 4 janvier dernier, il a décidé de passer à l’acte pour se faire entendre. Il s’est sectionné la première phalange du petit doigt de la main gauche et l’a envoyée à Rachida Dati. « Ils m’ont poussé à le faire », se justifie-t-il. De son côté, le porte-parole de la ministre, Guillaume Didier, nous a déclaré hier que « Rachida Dati avait demandé des informations sur la situation personnelle de Lionel Brothier » et nous a certifié que le ministère avait répondu à toutes les lettres de l’ancien coiffeur.
Ce n’est pas la première fois que ce genre d’affaires se produit en France. Dans les années 1980, Roland Agret s’était coupé deux phalanges et les avait envoyées au garde des Sceaux, pour obtenir son procès en révision. Après six ans de prison, il avait été libéré par grâce présidentielle.
Enqûete - Louis Sarkozy harcelé téléphoniquement

Deux hommes originaires de Seine-Saint-Denis âgés de 21 et 22 ans ont été interpellés en milieu de semaine dernière pour avoir proféré des menaces à l’encontre du plus jeune fils de Nicolas Sarkozy, Louis. Une info confirmée hier matin par la ministre de l’Intérieur.
Au cours de l’été, le salarié d’Orange s’était vanté auprès de l’un de ses amis d’avoir accès à la liste des numéros des abonnés VIP de l’opérateur téléphonique, dont celui de Cécilia Sarkozy. L’ami, sapeur-pompier, décide alors de composer le numéro et tombe sur Louis, le jeune fils du président de la République et de Cécilia. Il rappellera plusieurs fois l’enfant mais se fera plus menaçant le 5 janvier où il profèrera des menaces de mort envers le garçonnet. « Maintenant, tu vas mourir ! », lui aurait ainsi dit le sapeur-pompier.
Branle-bas de combat
Louis Sarkozy en parle alors à sa mère, qui lui demande d’envoyer un texto à son père. « Dès que Nicolas Sarkozy reçoit le SMS, c’est le branle-bas de combat : le procureur de la République de Paris, Jean-Claude Marin, saisit immédiatement la crim’, la brigade criminelle », écrit lepoint. fr.
La semaine dernière, l’ex-épouse de Nicolas Sarkozy, Cécilia, a été entendue par la brigade criminelle de la PJ parisienne en charge de l’enquête ainsi que l’une de ses filles, Jeanne-Marie. Les policiers ont rapidement identifié l’employé indélicat d’Orange et son complice, âgés respectivement de 21 et 22 ans. Interpellés, ils ont été placés en garde à vue dans la foulée. Déférés devant le parquet de Bobigny en fin de semaine, ils comparaîtront en février devant le TGI de Bobigny. Ce n’est pas la première fois que l’entourage de Nicolas Sarkozy reçoit des menaces. L’épouse de l’un de ses frères en a également été la victime.
Big Bisou d'adieu, Rosalie pleure

Le roi des Big bisous n'avait que 64 ans
PARIS Il va falloir se serrer un peu au paradis des humoristes. Poids lourd des blagues belges pas nécessairement légères, des chansons pleines de bonne humeur ou des histoires drôles, Carlos est décédé hier à 9 h 45 à Paris des suites d'un cancer. Il avait 64 ans.
Né Jean-Chrysostome Dolto le 20 février 1943, Carlos a connu un parcours atypique. Très tôt, il casse son image de fils de... (Françoise Dolto a complètement révolutionné la vision de l'enfance et de l'éducation en France) pour s'imposer comme un joyeux fêtard féru de musique. Notamment de jazz latino. Ce qui lui vaudra son surnom, à 15 ans, en référence à son idole, Carlos Patato Valdes. Ami de Michel et Jean Drucker, ainsi que de Johnny Hallyday, qu'il croise à 16 ans dans un cabaret parisien, Carlos se fait surtout remarquer par ses talents de danseur dans les clubs. Ce qui ne l'empêche pas de décrocher son diplôme de kiné à 18 ans.
Entre les tables de massage et les virées nocturnes, son coeur ne balance cependant pas. Et lorsque Sylvie Vartan lui propose de devenir son secrétaire artistique en 1962, il accepte sans hésiter. Tout naturellement, quelques années plus tard, elle lui demande de faire la voix masculine sur 2 minutes 35 de bonheur . Le résultat plaît : désormais, en tournée, il accompagne aussi Sylvie Vartan sur scène. Et en 1969, elle le pousse à enregistrer son premier 45 tours : La vie est belle . Qui laisse moins de trace dans les oreilles que le suivant : Y'a des Indiens partout , très vite disque d'or.
Carlos a trouvé sa voie : chanteur populaire. Séñor Météo, Big Bisous (composé par son ami Joe Dassin), La bamboula, J'fais rien qu'à faire des bêtises (avec Alice Donna), Le bougalou du loup-garou, Papayou ou l'indémodable Tout nu et tout bronzé deviennent ses marques de fabrique de joyeux fêtard.
Musicalement, le succès s'estompe dans les années 80. Mais sa réputation de noceur, elle, reste intacte. Celle d'humoriste aussi, grâce principalement aux Grosses Têtes de Philippe Bouvard. Carlos peut y étaler sa culture et, surtout, son sens de l'humour populaire.
Parallèlement, il lance sa propre ligne de vêtements, large et fleurie, rédige des compilations d'histoires drôles, participe à des émissions ou séries télé (Le J.A.P.), devient le héros d'un dessin animé (Les aventures de Carlos), tourne une pub célébrissime pour Oasis ("Mais qu'est-ce que tu bois doudou dis donc ?" ), s'adonne à sa passion pour la pêche au gros. Sans oublier, bien évidemment, de toujours faire la fête. Mais elle est désormais finie pour lui.
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