Obsession
Le Nouvel Obs y voit une nouvelle manière pour le président français de se venger de son ex-épouse. Après la même bague offerte à ses deux dernières femmes, le voyage en Jordanie (où Cécilia avait convolé avec Richard Atthias), le choix du témoin pour son remariage: une ex-intime de Cécilia, son désir de se rendre avec Carla Bruni en Guyane où avaient été médiatisées ses retrouvailles avec Cécilia... Et maintenant le SMS, le magazine y voit la preuve de l'obsession de Sarkozy pour Cécilia, qui a quitté le visage de l'amour pour celui de la haine.
Rien à foutre de tous ces cons
D'après la même source, Nicolas Sarkozy est par ailleurs apparu tendu lors de son mariage. Refusant de relire un communiqué annonçant la "bonne nouvelle" en déclarant "Pas besoin de communiqué. Tous ces cons, j'en ai rien à foutre." Les proches du président se plaindraient d'ailleurs de ses choix très personnels pour gérer sa vie privée. "Sur ces sujets, il est dans sa bulle, il n'écoute pas. Pire, il ne veut rien entendre".
Cécilia se remarie
Cécilia, elle, est retournée dans les bras du publiciste fortuné Richard Atthias, pour lequel elle avait déjà quitté Sarkozy. Leur mariage est prévu pour le mois prochain
mercredi 6 février 2008
Gouvernement Fillon: Bientôt le retour de la fessée et du bonnet d'âne dans les écoles !

Après Darcos, Fillon. Le premier ministre a manifesté ce matin sur RMC et BFM-TV son «soutien» à l'enseignant qui avait giflé un élève irrespectueux, se disant «choqué» que le professeur ait été gardé à vue.
«Il n'est pas acceptable qu'un élève traite un enseignant de connard, c'est une faute qui mériterait, semble-t-il, une sanction plus sérieuse que celle qui a été prise (3 jours de suspension, ndlr), et donc oui, je soutiens cet enseignant», a dit François Fillon.Interrogé sur la garde à vue infligée à l'enseignant, le chef du gouvernement a déclaré ne pas avoir «de jugement à porter sur la justice», ajoutant aussitôt: «Mais franchement, en tant que citoyen et en tant que parent d'élève, oui ça me choque».«Ce n'est jamais une bonne solution de gifler un élève, mais en même temps je soutiens les enseignants qui ont besoin d'un peu de discipline et d'un peu de respect pour faire fonctionner les classes», a encore dit le premier ministre.Un professeur de technologie du collège Gilles-de-Chin de Berlaimont (Nord) avait giflé en classe un élève de 6ème qui venait de le traiter de «connard». A l'origine de l'échange, le professeur se serait agacé du désordre sur une table. Il comparaîtra pour «violence aggravée sur mineur» le 27 mars devant le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe. Le père de l'élève, un gendarme, avait porté plainte après l'incident.
EXCLU: info sur le blog " Bonnet d'ânes" : http://bonnetdane.midiblogs.com/
Sarkozy : il tente de faire revenir Cécilia 8 jours avant le mariage !

Selon le Nouvelobs.com, le Président aurait adressé à son ex-femme un texto avec ce message huit jours avant de se marier avec Carla Bruni.
Le message est resté sans réponse. Peu avant de convoler avec la chanteuse Carla Bruni, Nicolas Sarkozy aurait tenté de faire revenir son ex-femme Cécila à ses côtés. C'est l'information que révèle ce mercredi le site Internet de l'hebdomadaire le Nouvel Observateur. "Si tu reviens, j'annule tout", aurait écrit le Président dans un message SMS à l'attention de la mère de son fils Louis. Avance à laquelle Cécilia ex-Sarkozy n'a, à l'évidence, pas répondu favorablement.
Et le site Internet de rappeler que Nicolas Sarkozy a offert à Carla Bruni la même bague que celle qu'il avait passée au doigt de Cécilia. De même que le Président s'est rendu en voyage à Petra, en Jordanie, "là où Cécilia était pour la première fois partie avec le publicitaire Richard Attias". Sans oublier le choix de Mathilde Agostinelli, directrice de la communication de Prada, longtemps amie intime de Cécilia, par Nicolas Sarkozy comme témoin de son récent mariage avec Carla Bruni. A l'évidence, insiste le nouvelobs.com, "qu’elle prenne le visage de l’amour ou de la haine, la véritable obsession de Nicolas Sarkozy a été et reste Cécilia Sarkozy, dont le mariage avec Richard Attias est attendu le mois prochain".Le média affirme même que "pendant son mariage, le chef de l’Etat est apparu à plusieurs témoins moins heureux qu’on n'aurait pu l’imaginer." Et qu'aujourd’hui, "l’entourage de Sarkozy voudrait lui déconseiller d’emmener Carla avec lui en Guyane, là où avaient été médiatisées ses retrouvailles provisoires avec Cécilia, mais personne n’ose le lui dire de front. " Le site rapporte les propos d'un proche du Président: "Sur ces sujets, il est dans sa bulle, il n’écoute pas. Pire, il ne veut rien entendre." Cécilia non plus, semble-t-il
mardi 5 février 2008
Un bébé lancé depuis un immeuble en feu attrapé au vol

Lors de l'incendie d'un immeuble en Allemagne dimanche, qui a fait 9 morts (dont cinq enfants), des parents désespérés ont lancé leur bébé par la fenêtre et un policier a pu le rattraper au vol.La photo tragique a fait le tour des journaux: penchés à une fenêtre du troisième étage d'où sort une fumée noire, un homme et une femme regardent leur bébé tomber, figé dans le vide par le photographe.Les bras du père sont encore écartés. C'est lui qui vient de propulser son enfant vers la seule issue possible. La cage d'escalier de bois de cet immeuble de Ludwigshafen (sud-ouest de l'Allemagne) occupé par des familles turques vient de s'effondrer sous les flammes.Ce que ne montre pas la photo prise dimanche après-midi, peu de temps après que le feu se fut déclaré vers 16h30, c'est que des policiers et des pompiers munis de toiles de sauvetage tendent les bras en direction du petit garçon. L'un d'eux le rattrapera et il survivra.D'autres des quelque 70 occupants de l'immeuble -les 24 habitants avaient de la visite à l'occasion du carnaval-, ont sauté de tous les étages pour sauver leur vie, aidés par plus de 500 personnes, des policiers et pompiers intervenus rapidement. Hier-lundi, 20 personnes, dont trois grièvement blessées, étaient encore à l'hôpital.La police criminelle allemande BKA enquêtait sur l'origine de l'incendie, et notamment sur le témoignage de deux petites filles qui affirment dans la presse turque avoir vu un homme parlant Allemand et portant du papier et un briquet dans l'entrée de l'immeuble le jour même. La Turquie a demandé mardi aux autorités allemandes de lancer une enquête pour déterminer s'il s'agit d'un acte criminel et a décidé d'y envoyer une mission.
jeudi 31 janvier 2008
Le fils du commissaire est un rapeur



Dans une salle du Botanique bourrée à craquer et surchauffée, le nouveau phénomène belge James Deano est venu présenter son premier album Le fils du commissaire à la maison. Devant un public déjà conquis et hétéroclite, le rappeur le plus drôle du Royaume a offert un show séduisant et pro, de bonne augure pour le succès qui se dessine devant lui. Nous avons rencontré James Deano pendant les répétitions et suivi son concert. James Deano fait figure de rappeur à part dans le milieu du rap belge. Volontairement "grand public" et même "classe moyenne" selon les propres mots de son label il réussit là où tous les autres ont pour l'instant échoué. Waterlotois, pourtant, fils de commissaire, pourtant, il traîne sa grande carcasse nonchalante à travers le milieu très fermé du rap bruxellois depuis 10 ans déjà. Branleur de serviceAprès des débuts en duo au sein de Profil Bas, il évolue vite en solo et commet en 2003 un maxi au buzz (et sujet) énorme:
Branleur de service.
Un texte comico-salace qui lui permet de se faire remarquer et d'atteindre déjà de nouvelles sphères. James Deano multiplie alors les collaborations sur des mixtapes et compilations confidentielles. La rumeur autour de son nom s'amplifie et il finit par signer sur le label français Because. Fils de commissaireDe gros moyens et une énorme attente plus tard, son premier album est enfin dans les bacs. Le fils du commissaire regroupe plusieurs de ses morceaux déjà sortis dans l'underground, réenregistrés, remasterisés et souvent réadaptés. On pense à Drogué dur à la drogue douce ou El Playboy qui avaient déjà tourné sur de nombreuses platines mais en qualité médiocre. Autre surprise: à part un bonus track avec Akro, pas de collaborations belges mais une seule invitée (surprise): Diam's.
"faut pas se laisser aller"
Propulsé en haut des charts avec Les Blancs ne savent pas danser et Le fils du commissaire, ce premier album alterne entre le tragi-comique à l'accent belge et le délire contrôlé version major française. Mais c'est la volonté de "se prendre en main" qui transparaît surtout au long des 17 morceaux de l'album. Un discours devenu rare depuis la mort du rap français des années 90 et l'avènement du rap hardcore. Le battle qui clôt le CD face à Akro est à ce titre un moment d'anthologie entre deux des meilleurs lyricistes, surprenants à chaque mesure.
One-man-flow
Un bol d'air frais bienvenu, qui pêche parfois par manque de cohérence et par des morceaux qui semblent s'adresser à un public adolescent. Mais on aurait tort de bouder son plaisir devant un nouveau phénomène belge, rejeton non reconnu de Benoît Poelvoorde et Franck Dubosc qui aurait été élevé par un Rocca remarié à Oxmo Puccino. Inventeur du concept "one-man flow", un concert rap avec interludes comiques, il ne cache d'ailleurs pas son rêve d'écrire un jour un one-man show. "Il m'a fallu 10 ans pour maîtriser le rap, donc il me faudra encore 10 ans pour espérer écrire un one-man show un jour", nous explique-t-il toutefois.
Show-man
Bonne surprise, des musiciens et un son puissant mais bien dosé. Une articulation à toute épreuve, chose assez rare malheureusement dans le rap, pour un show simple mais carré qui lui a valu deux rappels autoritaires. Un public déjà fan, de tous âges, races, genres et poids. Et si vous l'associez à Kamini et Fatal Bazooka, il ne vous reste plus qu'à vous rendre compte par vous-même que c'est plus que ça.
Jeu du torero: le train de la mort

La nouvelle pratique mortelle qui amuse les jeunes : attendre, couché, qu'un train arrive et filmer leurs exploits si dangereux
BRUXELLES S'allonger sur une voie ferrée et attendre l'arrivée d'un train en se dégageant au dernier instant. Aussi dangereuse que puisse être cette pratique, elle est devenue un phénomène de mode qui prend de plus en plus d'ampleur parmi les jeunes. Chez nos voisins français, le jeu stupide, dénommé jeu du torero, fait fureur.
Pas plus tard que le 20 janvier, cinq adolescents ont testé leur adrénaline en se transformant en toreros. Ils ont pris pour cible la ligne TGV Paris-Marseille dans un petit village non loin d'Aix-en-Provence, se positionnant, allongés, sur les voies. Leur petit jeu avait heureusement été remarqué avant le passage de la rame. En mai dernier, pareille situation, avec cette fois trois enfants de 10 ans jouant les héros, s'était produite sur la ligne Paris-Meaux. Voulant éviter la multiplication de cette pratique, la SNCF a décidé d'organiser des conférences de prévention dans les écoles françaises.
Et chez nous, qu'en est-il ? Tant à la SNCB qu'à la police des chemins de fer, on reconnaît l'existence de ce jeu, tout en soulignant que les cas recensés restent très rares en Belgique. "C'est effectivement un phénomène qui existe mais qui reste marginal. Nous ne donnerons pas, et ce, volontairement, de détails sur cette pratique, tout simplement pour éviter d'en faire la promotion. Nous ne voulons parler ni de ce jeu ni des autres aussi dangereux qui peuvent exister afin de ne pas donner des idées aux jeunes, qui dès qu'ils découvrent ce genre de pratique, sont tentés de la tester. C'est ce que nous voulons éviter", précise le porte-parole de la SNCB, Philippe Tomberg.
Chez Infrabel, le gestionnaire de l'infrastructure ferroviaire belge, on souligne surtout le danger que représente l'inconscience des jeunes face aux passages à niveau. "Une centaine de personnes sont tuées chaque année par un train. En 2007, sans compter le mois de décembre, sept personnes ont été tuées en tentant de franchir un passage à niveau. C'est pourquoi nous avons effectué plusieurs campagnes de sensibilisation dans les écoles, les jeunes étant les plus inconscients face à ces dangers", poursuit la porte-parole d'Infrabel, Aurélie Traube.
Et si la SNCB ne communique aucune statistique en matière des jeux dangereux auxquels s'adonnent les jeunes sur les rails, un simple clic sur Internet suffit à constater que plusieurs adolescents en ont fait un sport qui a l'air de beaucoup les amuser. De plus en plus de vidéos montrent des jeunes s'amusant à quitter la voie ferrée au dernier moment avant le passage d'un train. Elles sont mises en ligne sous l'appellation du jeu du torero. Tout aussi inquiétantes sont les images filmées de jeunes s'accrochant au moyen de ventouses à l'arrière des TGV et parcourant ainsi des kilomètres de long suspendus de la sorte aux vitres des trains à grande vitesse. Un jeu, aussi stupide soit-il, qui remporte un succès chez nos voisins allemands.
Pas plus tard que le 20 janvier, cinq adolescents ont testé leur adrénaline en se transformant en toreros. Ils ont pris pour cible la ligne TGV Paris-Marseille dans un petit village non loin d'Aix-en-Provence, se positionnant, allongés, sur les voies. Leur petit jeu avait heureusement été remarqué avant le passage de la rame. En mai dernier, pareille situation, avec cette fois trois enfants de 10 ans jouant les héros, s'était produite sur la ligne Paris-Meaux. Voulant éviter la multiplication de cette pratique, la SNCF a décidé d'organiser des conférences de prévention dans les écoles françaises.
Et chez nous, qu'en est-il ? Tant à la SNCB qu'à la police des chemins de fer, on reconnaît l'existence de ce jeu, tout en soulignant que les cas recensés restent très rares en Belgique. "C'est effectivement un phénomène qui existe mais qui reste marginal. Nous ne donnerons pas, et ce, volontairement, de détails sur cette pratique, tout simplement pour éviter d'en faire la promotion. Nous ne voulons parler ni de ce jeu ni des autres aussi dangereux qui peuvent exister afin de ne pas donner des idées aux jeunes, qui dès qu'ils découvrent ce genre de pratique, sont tentés de la tester. C'est ce que nous voulons éviter", précise le porte-parole de la SNCB, Philippe Tomberg.
Chez Infrabel, le gestionnaire de l'infrastructure ferroviaire belge, on souligne surtout le danger que représente l'inconscience des jeunes face aux passages à niveau. "Une centaine de personnes sont tuées chaque année par un train. En 2007, sans compter le mois de décembre, sept personnes ont été tuées en tentant de franchir un passage à niveau. C'est pourquoi nous avons effectué plusieurs campagnes de sensibilisation dans les écoles, les jeunes étant les plus inconscients face à ces dangers", poursuit la porte-parole d'Infrabel, Aurélie Traube.
Et si la SNCB ne communique aucune statistique en matière des jeux dangereux auxquels s'adonnent les jeunes sur les rails, un simple clic sur Internet suffit à constater que plusieurs adolescents en ont fait un sport qui a l'air de beaucoup les amuser. De plus en plus de vidéos montrent des jeunes s'amusant à quitter la voie ferrée au dernier moment avant le passage d'un train. Elles sont mises en ligne sous l'appellation du jeu du torero. Tout aussi inquiétantes sont les images filmées de jeunes s'accrochant au moyen de ventouses à l'arrière des TGV et parcourant ainsi des kilomètres de long suspendus de la sorte aux vitres des trains à grande vitesse. Un jeu, aussi stupide soit-il, qui remporte un succès chez nos voisins allemands.
jeudi 24 janvier 2008
Ils pètent en direct sur le plateau de Delarue

L'émission Ca se discute de Jean-Luc Delarue diffusée en direct hier/mercredi sur l'antenne de la chaîne France 2 a été perturbée par un incident pour le moins inédit. Le présentateur a dû arrêter le débat suite à l'énervement visible de spectatrices dans le public, qui ont alors exprimé au micro leur ras-le-bol face au comportement de deux jeunes hommes impolis assis juste derrière elles. Les deux malotrus se laissaient apparemment aller à lâcher régulièrement des gaz depuis le début de l'émission, au sujet pourtant grave puisque traitant des disparitions.Prenant la chose avec humour et légèreté, Delarue, en bon médiateur, est resté très calme et a tourné l'incident à la rigolade. La situation s'est toutefois envenimée dans un second temps, avec échange de mots. Un agent de sécurité est alors intervenu sur le plateau pour évacuer les deux jeunes perturbateurs.
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